Les secrets d’une bonne longévité seraient-ils dans la Bible ?

Source Wikipédia – Rappelez-vous ce film d’Arte « Les terres de longévité » relatant comment et pourquoi la ville de Loma Linda bat tous les records de longévité aux Etats-Unis. Ce sujet passionnant méritant une enquête plus approfondie, je vous livre le résultat de mes recherches…
En cherchant la perfection corporelle, nous sommes dans une quête sans fin des dernières découvertes médicales. Nous dépensons d’énormes sommes en

mise en forme, injections et méthodes que préconisent les chercheurs de remise en forme du monde de la science. Nous consultons des spécialistes, nous pratiquons régulièrement analyses et examens divers. Bref, nous cherchons la cure magique !
Ainsi, cette année, les Américains dépenseront plus de mille milliards de dollars en soins de santé et quelques milliards supplémentaires en traitements de substitution.

Cependant, le constat est accablant : plus de 60% d’entre eux souffrent d’un excès de poids et 30% sont obèses et, plusieurs millions souffrent de problèmes cardiaques, d’atteintes cérébrales, de cancers, de diabète.
Certes, la longévité s’est accrue, mais en raison sûrement d’une baisse de la mortalité infantile et d’augmentation de l’hygiène.

Connaissez-vous dans votre entourage une personne de plus de 80 ans qui ne consomme aucun médicament ?

S’il est exact que l’espérance de vie a augmenté, cela ne permet pas aux personnes de vieillir en bonne santé. Bien souvent on termine son existence avec une baisse terrible de ses facultés physiques et mentales.

Alors quand on parle de progrès, où se situent-ils pour une majorité d’individus qui composent notre société ?
Quel intérêt avons-nous à vivre plus vieux si c’est pour voir disparaitre ce qui fait le charme de l’existence et vivre dans un état végétatif ?

Le vieillissement de la population n’est pas source de bien être et confort physique et moral c’est bien là le drame de notre société actuelle !

La question qui se pose est la suivante :

Existe-t-il de par le monde des peuples qui vivent centenaires et surtout en bonne santé ?

Cette réponse a été donnée par un homme qui a parcouru tous les continents à la recherche de ce que l’on peut nommer « les terres de longévité ».

Les faits parlent d’eux même :
Vous allez les découvrir au travers de ce qui suit :

Zones bleues, une formidable découverte de Dan Buettner

C’est un projet défendu par un journaliste du National Geographic, Dan Buettner, qui étudie les régions du monde où l’on recense un très haut pourcentage de centenaires menant toujours une vie saine et très active.
C’est ainsi que scientifiques et démographes ont classé « Zones bleues » ces endroits de longévité exceptionnelle par la capacité de leurs habitants à vivre plus longtemps que quiconque dans le monde. Ce ne sont pas des centenaires mais des super centenaires.

Ce sont environ 5 zones que l’équipe scientifique de Dan Buettner a étudié, de petites poches géographiques à travers le monde où les gens ont une longévité exceptionnelle, menant une vie saine et active et surtout non médicalisée.

Les secrets du bon état physique de ces super centenaires des « Zones bleues »

Ces cinq zones bleues sont :

1) Une île italienne de Sardaigne et plus particulièrement une colline habitée principalement de vergers.
2) Une région dans les montagnes du Costa Rica sur la péninsule de Nicoya.
3) Une zone située à Okinawa.
4) Une île nommée Ikaria en Grèce.
5) Une poche de résistance aux Etats-Unis, à Loma Linda, où vit une importante population protestante d’aventistes du septième jour.

Parmi les résidents de ces communautés, les chances d’atteindre l’âge de 100 ans sont jusqu’à 10 fois supérieures à ce qu’elles sont pour la moyenne de la population d’Amérique du Nord ou d’Europe tandis que les cancers et maladies cardiovasculaires sont nettement inférieurs à ce que l’on trouve dans l’ensemble des autres régions.

D’après vous, la longévité de ces populations serait-elle due à :

• Une vaccination systématique éradiquant la plupart des maladies ?
• Un suivi médical régulier ?
• Une avancée dans les domaines des soins apportés aux personnes du 3ème âge ?
• Une meilleure connaissance scientifique avec des applications pratiques pour ces populations ?
• Enfin, comme on l’entend très souvent, tout simplement grâce aux avancées médicales

Et bien désolé de vous décevoir c’est non !!!

Le cas Loma Linda est tout à fait édifiant !

Si les zones bleues nous invitent à un tour du monde, avec des régions préservées par notre culture occidentale, une seule peut réellement nous intriguer c’est la présence d’une ville de 20000 habitants en Californie, endroit où une importante communauté de protestants adventistes a élu domicile.

Vidéo You tube

Sans entrer dans les détails, sachez simplement que cette très importante communauté religieuse chrétienne attend le retour du Christ « d’où le nom adventiste du latin « adventus » qui signifie arrivée venue »

Les adventistes ne font pas qu’attendre la venue du Christ. Ils ont la particularité d’avoir un mode de vie compatible avec une véritable zone bleue.

Les préceptes adventistes déconseillent la consommation de tabac, d’alcool et d’aliments jugés impurs par la bible : toutes les viandes impures comme le cochon, les boissons contenant de la caféine.
Grâce à une excellente hygiène de vie, Loma Linda se targue d’être une véritable oasis au milieu de la mégalopole de Los Angeles remplie de restaurations rapides.

Le plus surprenant, c’est la présence de très nombreux centenaires en bonne voire très bonne santé et on sait par exemple que l’on a trouvé en ces lieux la doyenne de l’humanité âgée de 114 ans.

C’est la Bible qui inspire ce courant de réforme naturelle

Les protestants adventistes américains prennent la Bible et ses recommandations très au sérieux. Pour eux, nul doute, on peut faire une application très pratique des enseignements bibliques et dans les faits cela marche bien : les résultats sont au rendez vous :

Ce que l’on peut lire dans la Bible :

Dans la Genèse, nous lisons que Dieu avait donné aux hommes des fruits, des légumes et des grains pour nourriture (Genèse 1 :29 ; 2 :16 ; 9 :3). Les fruits, les légumes et tous les grains contiennent des fibres et d’autres hydrates de carbone. L’importance de ces substances, dans notre alimentation, n’a été bien mesurée que depuis quelques dizaines d’années.

Les fibres, qu’on pensait inutiles, jouent un rôle important au niveau des intestins et tiennent une place importante dans la protection du corps contre le cancer du colon, ainsi que d’autres maladies chroniques. Les hydrates de carbones complexes sont également nécessaires dans un régime alimentaire, car ils réduisent le taux de cholestérol pour prévenir les maladies cardiaques et les attaques.

On rencontre également, en Occident, de graves problèmes de santé à cause d’une trop grande consommation d’hydrates de carbone raffinés. Le sucre et la farine raffinés ont été vidés de leur contenu nutritionnel.

Les populations qui consomment de grandes quantités d’hydrates de carbone raffinés sont parmi celles qui ont un taux très élevé de diabète et d’autres problèmes semblables. Les adventistes vous diront que la Bible nous met pourtant en garde contre ce genre de régime.
Salomon fut divinement inspiré à dire : « Il n’est pas bon de manger beaucoup de miel » (voir Proverbe 25 :16, 27). Même si le miel est une substance « naturelle », il est « raffiné » dans un sens par les abeilles qui le produisent. Le pollen collecté parmi un grand nombre de fleurs se trouve sous forme concentrée dans certains miels.
Le principe biblique consiste à consommer modérément les hydrates de carbone raffinés. Cependant, à cause de l’engouement pour les boissons légères (plus de 200 litres par personne chaque année aux Etats-Unis), les pâtisseries, les confiseries et la nourriture sucrée, beaucoup de gens ingèrent plus de 45 kilos de sucres raffinés par an – au détriment de leur santé !

Lorsque ces instructions bibliques sont analysées objectivement, elles confirment les conclusions des dernières recherches en diététique : réduire la consommation de graisses, augmenter l’usage des hydrates de carbone complexes (fruits, légumes et tous les grains), limiter la consommation de plats et d’hydrates de carbone raffinés.

Pour les chrétiens mais aussi les juifs et musulmans la Bible est inspirée par Dieu

La Bible contient d’autres instructions importantes que la science médicale n’a comprises que tout récemment. Moïse rapporte que le sang et la graisse, même des animaux purs, ne doivent pas faire partie de l’alimentation humaine (Lévitique 3 :17 ; 7 :23-26 ; Genèse 9 :4).

Cependant, dans certaines cultures, la consommation de boudin, de lard et de mélange de sang avec du lait sont des habitudes courantes. Le sang animal peut contenir des bactéries et des virus qui sont transmissibles. Cette importante interdiction biblique consiste à prévenir la propagation des maladies.
L’interdiction de consommer la graisse visible a également son importance – particulièrement dans nos régimes alimentaires modernes. L’une des plus intéressantes découvertes des études épidémiologiques, réalisées au cours des cinquante dernières années, fut de découvrir le lien entre la consommation soutenue de graisse et les maladies cardiaques, les attaques d’apoplexie et divers types de cancer.

Ces maladies conduisent à la mort dans les régions où l’on mange beaucoup de matières grasses – comme les hamburgers, les frites, les crèmes glacées, les sauces à salade. Beaucoup d’aliments ordinaires – le bacon, les hot dogs, le fromage et les pâtes à tartiner – peuvent contenir plus de 50 % de graisse. Dans notre société moderne, l’alimentation très grasse et riche en calories conduit à des problèmes de poids. La science médicale a appris que la consommation de graisse est dangereuse – alors que les adventistes ont remarqué que Dieu l’avait déjà révélé à Moïse des milliers d’années auparavant !

Des adventistes vont encore plus loin !

Depuis bientôt 130 ans, beaucoup d’adventistes du septième jour ont adopté un style de vie comprenant un régime végétarien (celui de la Genèse) principalement du fait qu’ils croient en la nature étroite entre corps et esprit. Pour eux, toute décision humaine dans le domaine de l’alimentation est en fait une décision d’honorer Dieu en préservant la santé du corps, de l’intelligence et de l’esprit ce qui leur fait dire que le corps est le temple de Dieu.

Comme son nom l’indique le régime végétarien fait abstraction totale de la viande et du poisson. Cependant, il permet l’utilisation d’œufs et de produits laitiers. A Loma Linda, de nombreux adventistes sont totalement abstinents de produits ou sous produits animaux. Ils sont Vegan ou en français végétaliens.

Des études qui prouvent le bien fondé de ce type d’alimentation

Plus de 250 articles ont été publiés depuis 1954, dans des revues professionnelles scientifiques, sur le style de vie et la santé des adventistes. Dans les années soixante, Loma Linda University, en coopération avec l’Institut national du Cancer, commença à étudier la santé des adventistes.

Plus tard, dans les années soixante-dix et quatre-vingts, des données sur le style vie adventiste furent recueillies et analysées avec les Instituts nationaux de la Santé, travaillant sous contrat. Les adventistes, en général, ont 50 pour cent moins de risque de crise cardiaque, d’avoir certains types de cancer, de subir une attaque d’apoplexie ou d’avoir un diabète.

De récentes données indiquent plus spécifiquement que les hommes végétariens âgés de 40 ans peuvent s’attendre à vivre huit ans de plus, et les femmes, sept ans de plus, que la population générale. Les hommes adventistes végétariens vivent trois ans de plus que les hommes adventistes consommant de la viande.

Les chercheurs pensent que cette longévité et cette qualité de vie sont dues en particulier à la consommation de graines intégrales, de fruits et de légumes aussi bien que le fait d’éviter la consommation de viande, d’alcool, de café et de tabac.

La représentation d’un pyramide alimentaire permet de mieux saisir les aliments à consommer en priorité, ainsi, voici ce qui peut être consommé:

http://a--table.blogspot.fr/2010/04/pyramides-alimentaires.html
Pyramide des aliments

Céréales : 6-11 portions d’aliments riches en fibres et en vitamines.
• 1 tranche de pain ou 2 tasse de riz, pâtes ou céréales cuits, 1 tasse de céréales sèches (type petit déjeuner), ou 1 petit pain, ou une crêpe.
Sachez varier les céréales : riz complet, millet, sarrasin, quinoa, épeautre, blé, orge, avoine.
Fruits et légumes : 5 à 9 portions d’aliments riches en vitamines et substances protectrices.
• 100 g légumes crus ou 200 g légumes cuits ou 25-30 g fruits secs ou 1,5 dl de jus de fruits ou légumes.
Produits laitiers ou équivalents : 2 à 4 portions d’aliments riches en calcium et en vitamine B12.
• 2 dl de lait de vache ou soja enrichi en calcium, 1 yoghourt ou 150 g de fromage blanc frais .
Légumes secs, et oléagineux : 2 à 4 portions d’aliments riches en protéines.

D’un point de vue pratique, que pouvons-nous faire ?

Revenons à Dan Buettner et son étude sur les zones bleues. Les gens qui y habitent adoptent des règles de vie à peu près semblables.

Les raisons de leur longévité seraient :

*une alimentation principalement végétale
*une activité physique régulière comme simplement la marche à pied mais aussi le jardinage
*des rituels permettant de décompresser au quotidien.
*une vie sociale basée sur l’échange et la convivialité (on n’a pas 1000 amis sur Facebook mais des amis réels que l’on croise au quotidien), un entourage communautaire riche en contacts autour d’une table ou d’une assemblée.
*le fait de donner sens à sa vie et avoir une raison de se lever chaque jour.

Les 9 suggestions faites pour une application « zones bleues »

L’auteur détaille longuement chaque zone bleue, le style et les conditions de vie particulières à chacune. Il donne ensuite neuf suggestions pour que l’on puisse créer notre propre zone bleue.

1. Pratiquer une activité physique régulièrement.
2. Avoir une raison de se lever chaque jour.
3. Prévoir et utiliser des moments de repos pour évacuer la tension.
4. La règle des 80% implique de ne manger que jusqu’à ce que notre estomac soit rempli à 80% de sa capacité.
5. Tous les centenaires rencontrés durant l’étude ne mangent que très peu de viande, ou même pas du tout.
6. Éviter les abus d’alcool, consommer un seul verre quotidiennement (un grand maximum ou de l’eau)
7. Donner la priorité à la famille et passer beaucoup de temps ensemble.
8. Tous les centenaires de l’étude faisaient partie d’un groupe religieux dans leur communauté et y participaient de manière active.
9. S’entourer de personnes qui partagent nos valeurs.

Les adventistes furent les précurseurs du monde de la diététique

C’est aux Etats-Unis que la réforme de l’alimentation et des modes de vie commença mais au début il n’en paraissait rien.

A cette époque, les habitudes de santé laissaient beaucoup à désirer. Les gens prenaient rarement un bain. Les repas étaient très épicés. Sans moyens modernes de conservation, une famille consommait en quelques jours toute la viande d’un animal tué. Les desserts se composaient de gâteaux richement garnis de crème. La plupart des gens évitaient les fruits et les légumes, surtout pour les enfants, les soupçonnant d’avoir été la cause de l’épidémie de choléra en 1832.

L’espérance moyenne de vie des américains était réduite  : 32 ans en 1800, 41 ans en 1850

Malades, plusieurs leaders adventistes se trouvèrent devant un urgent besoin de réforme sanitaire. Quand John Loughborough commença à prêcher à l’âge de 18 ans, on lui conseilla le tabac pour soigner une maladie des poumons. Croyant que c’était un bon conseil, il prit l’habitude de fumer des cigares. On attribuait communément des vertus médicinales au tabac. Son menu était fort copieux : porc grillé au petit-déjeuner, viande bouillie au déjeuner, jambon et boeuf au dîner.
En 1863, à 34 ans, John Andrews, le théologien du mouvement, fut frappé d’une congestion cérébrale et d’une dyspepsie nerveuse. Il avoua plus tard : « Je ne connaissais presque rien des méfaits d’une nourriture malsaine ».

La famille White fut elle-même durement frappée par la maladie. En septembre 1860, John Herbert, le dernier des quatre garçons, s’éteignit à l’âge de trois mois. En août 1863, James White, à 42 ans, eut une attaque de paralysie qui faillit lui coûter très cher. Un véritable bourreau de travail, il ne tempérait pas son activité furieuse. Son mot d’ordre était : « Mieux vaut s’user que rouiller ». Quand sa femme le suppliait de ralentir, de prendre du repos, de ne pas embrasser le travail de trois ou quatre personnes, il répondait invariablement : « Où sont les hommes pour tout ce qu’il y a à faire ? ». Pour couronner le tout, en décembre 1863, Henry, le fils aîné, mourut d’une pneumonie à l’âge de 16 ans.

Une réforme sanitaire qui fit toute la différence

Nous ne connaissons pas les détails précis qui firent que les premiers adventistes américains mirent en application les principes de vie Biblique.
Les adventistes adoptèrent et ressentirent assez rapidement les bienfaits de leur nouveau mode de vie. Pourtant, cette adhésion fut loin d’être évidente au départ. La viande était la principale source de subsistance des fermiers de la Nouvelle Angleterre. On n’avait aucune raison de penser que les principes englobant les lois de la santé naturelle soient valables. La science n’avait pas encore découvert les cellules, les microbes, les molécules ou les toxines. Elle ne savait rien des méfaits du mauvais cholestérol, du sucre, de la nicotine ou de la caféine. Elle ne connaissait pas les bienfaits des fibres, des vitamines ou de l’aérobie.

Une raison théologique explique pourquoi la réforme s’imposa.

Comme nous l’avons souligné, les adventistes ont considéré l’être humain comme un tout indissociable. Ce qui affectait une capacité se répercutait sur les autres capacités. Par exemple, l’alcool pouvait endommager les facultés corporelles d’un individu, altérer ses facultés mentales, aliéner ses relations sociales et empêcher sa relation spirituelle avec Dieu.

Les adventistes ont noté l’existence de principes et de lois sur la santé dans la Bible. Ils ont lu que le corps était « un temple du Saint-Esprit », qu’il fallait en prendre soin et honorer Dieu de cette manière. Ils ont vu les misères et les fléaux liés à la maladie. Ils ont conclu qu’elle était une anomalie, un dérèglement, une violation des lois de la santé. Ils ont remarqué que le Christ de la Bible passa plus de temps à guérir les malades qu’à enseigner. Dieu souhaitait notre bonheur et notre épanouissement. Sa volonté était qu’on soit en bonne santé.

Les adventistes se mirent à étudier la médecine, la biologie, la nutrition et les autres sciences pour mieux comprendre les lois de la santé. Ces recherches les amenèrent à voir la santé comme étant le fruit d’un processus. C’était un mode de vie. De ce fait, leur philosophie de la santé a été préventive plutôt que curative. Pour autant, ils développeront un système médical d’envergure à travers le monde.

Les adventistes comptent en leurs rangs de nombreux et grands thérapeutes. Citons simplement des figures emblématiques comme le docteur Ernst Schneider et André Roux, figure haute en couleur dans le domaine de l’iridologie et de la vie saine.
Ils sont aussi à l’origine du plan de 5 jours pour arrêter de fumer.

Pour celles et ceux qui fréquentent les magasins bio, les établissements PURAL ont leur origine chez les adventistes et cela depuis le début des années 1900 et, qui n’a pas entendu parlé de Kellogs et de ses célèbres corn flakes !

Conclusion

Malgré ce que les médias nous rabâchent , il n’y a pas que les avancées scientifiques de ces dernières années qui peuvent nous assurer les conditions d’un vieillissement optimal.
Manger correctement- marcher- bouger-avoir une vie sociale et affective riche- avoir un but dans la vie surtout s’il est transcendant, tels sont les facteurs qui peuvent nous permettre de vieillir en bonne santé.

Alors, nous vous souhaitons aussi une longue vie heureuse.

Bernard Burlet

Congrès « AGIR POUR LA SANTE NATURELLE » AIX-LES-BAINS