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Retrouver une bonne santé en évacuant nos polluants

Pour retrouver une bonne santé, il peut être nécessaire de passer par une forte élimination des éléments pathogènes qui nous affectent intérieurement. C’est cette investigation poussée que nous voulons entreprendre afin de bien comprendre et accepter les conséquences par lesquelles il faut quelquefois passer pour retrouver la plénitude de nos moyens. Gageons que ça vaut vraiment le coup d’essayer, d’autant plus que celles et ceux qui l’ont fait en sont pleinement heureux.

Image par Shad0wfall de Pixabay

Selon les Dr Seignalet, Ohsawa, le Dr Kousmine et les thérapies naturelles utilisant l’argile de Raymond Dextreit mais, aussi celles qui utilisent la zéolithe, certaines maladies chroniques sont le résultat d’un phénomène d’élimination des polluants cellulaires par l’organisme.

Dans les maladies d’encrassage, on a admis l’hypothèse d’une pollution intra- et extracellulaire, par des fragments de substances alimentaires et bactériennes issues de l’intestin grêle. L’amélioration de ces maladies (considérées bien souvent comme incurables) voire la rémission complète est due au tarissement de ces substances toxiques venues de l’intestin grêle.

On doit admettre que ces polluants moléculaires alimentaires ou bactériens accumulés dans le milieu extra et intracellulaire vont être expulsés de l’organisme.

Cette évacuation donne lieu aux maladies d’élimination.

  • Alors l’utilisation de « super polychrestes » dont nous avons vantés les mérites comme principalement la zéolithe va engendrer des réactions organiques peu ordinaires avec une sensation de malaise, de fatigue, de fièvre, de  courbatures liés à la précipitations de « polluants enkystés  » au plus profond de chacune de nos cellules.

Adopter un nouveau mode d’alimentation plus « harmoniste » avec le concours de polychrestes dont nous avons parlé c’est s’attendre à faire un branle bas de combat dans notre organisme qui va faire croire que notre état général se dégrade encore plus alors qu’en fait on assiste à une épuration cellulaire dont on ne voudrait pas faire les frais.


Généralement, cela n’est qu’un passage, certes parfois étroit mais toujours salvateur.

Que se passe-t-il réellement ?

Confronté à cette invasion de polluants, l’organisme alerte son système immunitaire et recrute les « nettoyeurs » : les polynucléaires et les macrophages. Les polluants sont captés par les polynucléaires et les macrophages – si ces molécules polluantes sont associées à un fragment de protéine de neuf à vingt-cinq acides aminés, ils peuvent être captés par les lymphocytes T et déclencher une réaction immunitaire ; dans ces conditions, les lymphocytes B produisant des anticorps relancent les maladies auto-immunes.

Ces réactions de défense immunitaire sont source de radicaux libres.

Elles produisent de l’eau de Javel pure, de l’eau oxygénée à 100 volumes, d’autres molécules oxydantes, des cytokines… De nombreux polynucléaires et macrophages vont être détruits par leur propre production de molécules oxydantes. À noter que le déficit en vitamine C accélère le processus. En effet, la vitamine C participe à la neutralisation des oxydants au sein même des globules blancs. Si ces derniers sont lysés (dissous), ils forment ce que l’on appelle communément le pus (comme dans un abcès) qui entraîne une réaction en chaîne de radicaux libres. Un certain nombre de globules blancs meurent mais échappent temporairement à leur lyse (dissolution).

Ceux-ci ne peuvent pas être phagocytés (dévorés) par les macrophages car ils sont encore revêtus de toutes les caractéristiques du « Soi ». Ils ne sont pas reconnus par l’organisme comme des substances étrangères. Dans ces conditions, l’organisme met en place une stratégie d’élimination via les émonctoires naturels que sont le foie, la peau, les voies aériennes supérieures (nez, sinus, poumons), et intestinales (estomac, grêle et côlon).

Cette stratégie peut être comparée à celle mise en place par les services de santé militaire qui évacuent les morts et les blessés hors du champ de bataille.

On constate au cours de l’examen microscopique de diverses sous-muqueuses, un infiltrat inflammatoire où se concentrent les polynucléaires, les macrophages et les lymphocytes T. Cela concerne les sous-muqueuses bronchiques, ORL, cutanées et intestinales. C’est ainsi que s’expriment les maladies cutanées, les maladies de la sphère digestive, de la sphère ORL et pulmonaire que Jean Seignalet a regroupées sous le terme de maladies d’élimination.

Finalement l’explication est vraiment simple :

  • 1 ) passage des macromolécules de l’intestin grêle dans le sang ;

  • 2) puis récupération de ces molécules par les polynucléaires et les macrophages ;

  • 3) et enfin reconduite aux frontières de la peau, du système digestif et des voies aériennes (ORL et poumons). Au passage des frontières, les globules blancs en mauvais état déversent leur eau de Javel, leur eau oxygénée à 100 volumes et d’autres molécules très oxydantes. Il ne faut donc pas s’étonner parfois de sensations de brûlure, qui traduisent « la sortie » des globules blancs morts : les polynucléaires et les macrophages.

Dans les pathologies d’élimination, c’est la balance entre l’entrée et la sortie des polluants qui commande l’évolution de la maladie.

  • TRES IMPORTANT : La réduction de l’entrée des polluants favorise le processus d’élimination par le corps.

Pendant toute cette phase d’élimination, les symptômes s’aggravent, puis se calment avec des soubresauts, pour aboutir à une rémission plus ou moins complète. Lorsque l’on est confronté soudainement à une maladie d’élimination, si l’on ne change rien dans son alimentation, alors l’entrée des déchets est trop massive par rapport à la capacité des émonctoires naturels ; la maladie s’installe, devient plus ou moins chronique voire permanente. Les émonctoires naturels sont le foie, la peau, les voies ORL, pulmonaires et intestinales (estomac, grêle et côlon).

Des exemples de maladies d’élimination

L’inflammation chronique au niveau des divers émonctoires peut déclencher différentes maladies selon l’émonctoire fragilisé en fonction des fragilités génétiques des individus. Par exemple, au niveau du tube digestif, il peut y avoir déclenchement de colites, de la maladie de Crohn, etc. En ce qui concerne la peau, on pourra observer de l’acné, de l’urticaire, certains eczémas et du psoriasis ; aux muqueuses des oreilles, du nez et de la gorge peuvent se développer des otites, sinusites, conjonctivites, etc.

Pour prévenir les maladies d’élimination mais aussi comprendre les CRISES D’ÉLIMINATIONS que l’on rencontre ordinairement en adoptant un régime salvateur, un polychreste efficace comme la zéolithe il faut s’attendre à une épuration cellulaire salvatrice favorable à un rétablissement complet.

Disons que ces CRISES D’ÉLIMINATION démontrent s’il en est que l’action « placebo » liée soit disant à la prise de compléments alimentaires n’existent pas puisqu’en un premier temps on assiste parfois à ce qu’on peut appeler « une aggravation » de l’état maladif alors qu’on attendait le prompt rétablissement.

Non, mesdames et messieurs les détracteurs, l’homéopathie et les médecines naturelles ne méritent pas votre discrédit. Elles sont d’autant plus actives qu’en un premier temps elles miment une autre maladie pour chasser la première. Cela s’appelle des crises d’éliminations et elles sont le plus souvent utiles qu’elles conduisent à la santé totale; alors celles et ceux qui sont passés par là peuvent témoigner que ça ne se passe pas dans la tête alors qu’elles se sentent encore plus malades et souffrantes qu’avant. L’effet Placebo ne se conforme pas à cela que je sache.

Pour fustiger ces méthodes vous ne faites référence qu’à ces fameux effets et bien les faits quant à eux démentent vos propos: l’homéopathie ça peut vous coucher et il en est de même des autres méthodes de soins naturels…

Mais après avoir créé un branle bas de combat dans l’ensemble du corps, ce dernier s’en trouve rajeuni et revitalisé. Bien entendu, on peut se faire accompagner par un ou une excellente thérapeute de médecines douces qui vous rassurera.

Roland Reymondier
Conseiller en produits de nutrition

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