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L’épidémie de covid 19 s’étend : les traitements naturels, c’est pour quand ?

Même si on ne vous en parle pas dans les médias, il existe des pistes naturelles très sérieuses qui pourraient nous rendre un fier service aujourd’hui et demain, vu l’ampleur du risque présent et à venir. Après avoir parlé du traitement du Professeur Raoult, très présent dans les médias, nous pensons qu’il serait bien que vous connaissiez ce qu’est la quercétine et l’importance du zinc dans la prévention des infections?

Image par mohamed Hassan de Pixabay –

L’un des médicaments qui a la vedette est la chloroquine, un traitement couramment utilisé pour contrôler le paludisme.

La chloroquine est un dérivé synthétique de la quinine, qui était autrefois le seul traitement contre le paludisme. Et pourtant ce n’est pas un médicament sans problème.

Depuis 2003 l’hydroxychloriquine a prouvé son efficacité contre un autre coronavirus qui est apparu en Chine. Les tests en laboratoire révèlent également que la chloroquine est efficace dans les cultures cellulaires contre le COVID-19.

L’hydroxychloroquine utilise la même voie que la chloroquine, mais avec des effets secondaires au niveau cardio-vasculaire parfois très facheux.

Là, nous sommes étonnés par l’attitude du docteur Raoult qui présente sa méthodologie de manière un peu trop sensationnelle comme si c’était le seul vrai traitement contre le Covid 19 et, de plus en le présentant sans trop d’effets secondaires. Nous pensons que ça mérite des explications complémentaires.

Rappelons que ce produit est un médicament synthétique qui est un poison quand il n’est pas utilisé dans un cadre médical strict et précis et il donne des effets secondaires importants. Des résultats, et ils sont là, ont incité les scientifiques à appeler à de nouvelles recherches sur l’utilisation des antipaludéens pour endiguer la vague de l’infection.

Récemment, les résultats d’essais cliniques utilisant la chloroquine ont été annoncés en Chine. Mais sait-on vraiment ce qui se passe en Chine ?

Il y a une dizaine d’années, une étude a évalué l’utilisation de la chloroquine dans le sous-type de coronavirus humain OC43, connu pour provoquer de graves infections des poumons inférieurs.

Le professeur Didier Raoult a publié une étude portant sur l’hydroxychloroquine qui semble prometteuse… Mais le faible nombre de participants et les prises de positions « partisanes » du professeur ne permettent aucune conclusion définitive.

Le Dr Didier Raoult, spécialiste de la lutte contre les infections en France, a recruté 24 patients dont l’infection au COVID-19 avait été confirmée. Les patients recevaient 600 mg d’hydroxychloroquine chaque jour et leur charge virale a été surveillée en milieu hospitalier.

En fonction du tableau clinique, les chercheurs ont ajouté de l’azithromycine au protocole de traitement.
Les patients d’un autre hôpital qui ont refusé le protocole ont été utilisés comme contrôle négatif. Les scientifiques ont conclu qu’en dépit de la petite taille de l’échantillon, l’étude :

« Montre que le traitement à l’hydroxychloroquine est significativement associé à la réduction / disparition de la charge virale chez les patients atteints du COVID-19 et son effet est renforcé par l’azithromycine. »

Comment un médicament utilisé contre le paludisme qui n’est pas une maladie virale peut-il également avoir une capacité à réduire les symptômes du coronavirus?

Les médecins expliquent le mécanisme :

« Lorsque le coronavirus infecte une cellule, il y déverse un ARN messager qui va être traduit à l’aide des ribosomes. Ces ribosomes, la première chose qu’ils vont faire est de traduire cette molécule d’ARN en une protéine appelée ARN polymérase ARN dépendante, ou réplicase.

Et, c’est cette enzyme dont il a été démontré qu’elle est inhibée par des concentrations intracellulaires élevées de zinc qui va entrainer le blocage du virus dans sa prolifération.

Le zinc est le principal acteur de la lutte antivirale

Il s’avère que la chloroquine a un transporteur de zinc sous forme de ionophore, tout comme l’hydroxychloroquine. L’ionophore de zinc est simplement une protéine ou une porte qui permet au zinc d’entrer dans les cellules.
Les scientifiques ne savent pas vraiment comment cela fonctionne, mais ça marche bien !
Toutefois, cela semble créditer le mécanisme d’action que le zinc inhibe la réplicase et que l’hydroxychloroquine ou la chloroquine augmentent la concentration intracellulaire de zinc. »

Les naturopathes connaissent depuis longtemps l’action efficace du zinc

Les preuves montrent que le gluconate de zinc et l’acétate de zinc réduisent efficacement la gravité et la durée des infections virales. Le zinc est essentiel à l’efficacité du système immunitaire, de la fonction enzymatique, de la synthèse des protéines et de la division cellulaire.
Des études démontrent que l’utilisation de pastilles de zinc réduit la durée d’un rhume de 33 % et diminue la gravité de vos symptômes.

Le zinc est un composant nécessaire des protéines antivirales qui « inhibent la réplication de certains virus en réprimant la traduction et en favorisant la dégradation des ARN viraux ». Cette activité démontre une inhibition similaire contre le virus de la grippe A connue pour déclencher 75 % des cas de grippe.

Si comme on le suppose c’est le zinc qui s’oppose aux virus, pourquoi à titre prophylactique ne pas l’utiliser sous forme de gluconate au de picolinate ou bien encore sous forme ionique comme il se trouve dans les produits Catalyons trouvés dans une boutique diététique?

Oui, dites-moi pourquoi ne pas le faire alors que cela est bénéfique et totalement naturel?

Car, il faut l’affirmer depuis cette pandémie personne n’ose s’aventurer dans des approches non conventionnelles et pourquoi donc ?
Les traitements chimiques sont inexistants, alors qu’est-ce que vous risquez à vous complémenter en produits naturels ?

La quercétine peut neutraliser les virus

La quercétine est un puissant stimulant immunitaire et un antiviral à large spectre. Elle inhibe également la libération des cytokines pro-inflammatoires, ce qui peut être bénéfique car une infection grave au COVID-19 et la mort subséquente semble être dues à l’activité tempétueuse des cytokines.

Elle est particulièrement indiquée pour éviter le phénomène SRAS c’est à dire cette tempête qui neutralise les poumons et conduit à la mort.

Des chercheurs canadiens, Michel Chrétien et Majambu Mbikay, ont commencé une investigation sur la quercétine au lendemain de l’épidémie de SRAS qui est survenue dans 26 pays en 2003. Ils ont découvert qu’un dérivé de la quercétine offrait une protection à large spectre contre un large éventail de virus, notamment le SRAS.

L’épidémie d’Ebola en 2014 a fourni une nouvelle opportunité d’enquêter sur les pouvoirs antiviraux de la quercétine et, là aussi, ils ont constaté qu’elle empêchait efficacement l’infection chez la souris, « même lorsqu’elle n’est administrée que quelques minutes avant l’infection ».

Ainsi, lorsque l’épidémie de COVID-19 a été annoncée dans la ville de Wuhan, en Chine, fin décembre 2019, Michel Chrétien a contacté ses collègues en Chine pour leur offrir son aide. En février 2020, Michel Chrétien et son équipe ont reçu une invitation officielle à commencer des essais cliniques. Maclean explique :

La Food and Drug Administration des États-Unis a déjà approuvé la quercétine comme étant sans danger pour la consommation humaine, ce qui signifie que les chercheurs peuvent ignorer les tests sur les animaux. Ce traitement fonctionne pourquoi ne pas le rendre accessible à plus grande échelle ?…

La quercétine est beaucoup plus qu’un espoir, c’est une solution naturelle possible !

Pourquoi n’entendez-vous jamais parler de la quercétine ?

C’est simplement parce que c’est un élément naturel et qu’en fait vous auriez la possibilité de la prendre sous forme de complément ou d’aliment comme l’oignon. C’est trop simple pour les scientifiques officiels.

La recherche a déjà démontré que la quercétine est un puissant stimulant immunitaire et un antiviral à large spectre. En tant que tel, elle peut être utile à la fois pour la prévention et le traitement de l’infection par le COVID-19, dans un cadre médical s’entend.

Comme indiqué dans une étude de 2016 dans la revue Nutrients, les mécanismes d’action de la quercétine comprennent l’inhibition de la production du facteur de nécrose tumorale α (TNF-α) induit par les lipopolysaccharides (LPS) dans les macrophages.

Le TNF-α est une cytokine impliquée dans l’inflammation systémique, sécrétée par les macrophages activés, un type de cellule immunitaire qui digère les substances étrangères, les microbes et autres composants nocifs ou endommagés. La quercétine inhibe également la libération de cytokines pro-inflammatoires et d’histamine en modulant l’afflux de calcium dans la cellule.

Selon cet article, la quercétine stabilise également les mastocytes et elle a « un effet régulateur direct sur les propriétés fonctionnelles fondamentales des cellules immunitaires », ce qui lui permet d’inhiber « une énorme panoplie de cibles moléculaires dans la plage de concentration micromolaire, soit en régulant à la baisse ou en supprimant de nombreuses voies et fonctions inflammatoires ».

Dans le prochain dossier, nous allons si vous le voulez bien aborder une approche qui pourra permettre que vous utilisiez la quercétine et les autres moyens naturels afin de faire face de manière alimentaire à cette nouvelle maladie CODID-19.
A SUIVRE…

Roland Reymondier
Conseiller en produits de nutrition

NOTE IMPORTANTE: la quercétine est déjà utilisée avec succès, depuis de nombreuses années, par les pratiquants de médecines naturelles qui ont des allergies saisonnières type rhume des foins.

En cas de Coronavirus avéré, il est bien entendu de la plus haute importance de consulter un medecin.