La folie des régimes riches en protéines animales

Copie de photos Abiessence et lauvitel fin juin 2012 008Depuis longtemps, de nombreux magasins diététiques invitent les consommateurs à privilégier les aliments d’inspiration végétale.
Alors, c’est avec une certaine satisfaction, que nous lisons dans le Figaro santé du 11 03 2014 un article sur deux études mettant en doute le bienfondé d’une alimentation reposant presque exclusivement sur la viande et les produits laitiers.
Face à l’épidémie d’obésité qui sévit partout aujourd’hui dans le monde,

les consommateurs ont été rendus très attentifs à leur consommation de sucres et de graisses, parfois jusqu’à stigmatiser ces nutriments pourtant essentiels. Les protéines bénéficient, elles, au contraire, d’une image très positive. La plupart des régimes amaigrissants leur font la part belle, à commencer par celui de Pierre Dukan, et de plus en plus de sportifs en ajoutent à leur alimentation pour améliorer performances et récupération. Les recommandations actuelles de 0,83 gramme de protéines par kilo de poids de corps sont souvent dépassées.

«Il est dangereux de penser que les protéines sont des molécules neutres, qui ne peuvent être que bénéfiques pour la ligne ou les muscles, prévient Florence Rossi, membre de l’Association française des diététiciens nutritionnistes, qui exerce en milieu hospitalier. La surconsommation de protéines peut avoir des effets directs sur le fonctionnement des reins et du foie, et l’on commence à mettre en évidence les effets à plus long terme.

Pour ces chercheurs, l’utilisation de ces protéines serait aussi dommageable que celle de la cigarette.

Rappelons, que nous avons des fournisseurs extra* qui diffusent une palette d’éléments végétaux comme le miso mais aussi toutes les céréales complètes et les légumineuses.
Rendez-vous donc dans votre boutique bio préférée et, allez donc à la découverte de ces petits trésors.

Acteur-Nature
Bernard Burlet

* Exemple de fournisseur extra. Il en existe bien d’autres dans votre boutique BIO préférée.