Ganoderma, un véritable anti-âge doublé d’un trésor de vitalité

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La poudre de ganoderma sous forme de spores a pour effet de réguler l’immunité, joue un rôle antitumoral, lutte contre l’oxydation et protège toutes les cellules du corps humain.

Au cours des dernières décennies avec le développement de la technologie on est arrivé à casser l’enveloppe des spores et ainsi accéder au royaume secret des substances hautement actives de ce champignon extraordinaire.

L’effet pharmacologique du reishi ganoderma a été attesté pour la première fois par Le classique des plantes médicinales de Shen Nong, dès 100 avant JC, et observé pour favoriser la santé, augmenter la vigueur et la vitalité et prolonger la durée de vie.

Les taoïstes chinois considéraient le Ganoderma appelé encore reishi comme un médicament à base de plantes pouvant aider les gens à obtenir «l’élixir de la jeunesse extérieure».
En Chine, le Ganoderma a longtemps été utilisé comme médicament traditionnel pour améliorer la santé et est considéré comme la médecine traditionnelle chinoise la plus affinée.

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La parade contre le vieillissement programmé

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Le vieillissement s’accompagne presque toujours d’un déclin de la fonction physiologique corporelle, ce qui entraîne une susceptibilité accrue aux troubles liés à l’âge. C’est un processus physiologique inéluctable, mais les mécanismes sous-jacents restent à élucider après plusieurs décennies.

Parmi les nombreuses théories associées au vieillissement, les théories du stress oxydant et de l’accumulation des radicaux libres est l’une des plus crédibles.
Le système antioxydant se détracte en prenant de l’âge, ce qui perturbe l’équilibre délicat entre la production d’espèces radicalaires d’oxygène et son élimination, entraînant des dommages cellulaires qu’on nomme oxydatifs.

Les tissus du cerveau, du cœur et des muscles squelettiques sont plus sensibles au vieillissement que les autres organes.
De manière importante, l’accumulation de stress oxydatif et le dysfonctionnement mitochondrial sont des inducteurs importants du vieillissement du tissu cardiaque.

La contraction cardiaque dépend de la phosphorylation oxydative (OXPHOS) et de la chaîne de transport d’électrons mitochondriale (ETC).
Leur dysfonctionnement peut augmenter la production de ROS à un niveau malsain, entraînant ainsi des modifications tout à la fois de la structure et de la fonction du coeur, telles qu’une atrophie du myocarde ou une hypertrophie compensatoire, induisant un vieillissement cardiaque.

Dans le cerveau, l’accumulation de radicaux libres et l’atténuation de l’activité du complexe enzymatique de la chaîne respiratoire endommagent les mitochondries cérébrales. Leur dysfonctionnement induit l’apparition de certaines maladies neurodégénératives, telles que la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer et bien d’autres maladies du cerveau que l’on classe bien vite sous le vocable Alzheimer.

Outre le stress oxydatif, le vieillissement est également étroitement associé à l’apparition de défauts structurels et fonctionnels du système immunitaire.

Un dysfonctionnement immunologique pourrait être à l’origine de la susceptibilité accrue de la population âgée aux infections bactériennes et virales, courantes chez ces personnes là.
La perte progressive de la cognition est l’une des principales caractéristiques du vieillissement, qui se traduit par un déclin de la pensée logique, de la mémoire et des capacités spatiales. Le vieillissement cérébral est la cause principale des déficits cognitifs et pourrait être induit par la neuro-dégénérescence.

Par contre, les déficits cognitifs liés à l’âge ne signifient pas des maladies neuro-dégénératives telles que la maladie d’Alzheimer ou la maladie de Parkinson. En fait, le vieillissement cérébral applique un micro-environnement sensible pour provoquer des dommages plus graves que ceux causés par des maladies.

Contrairement à ce que l’on croit souvent, la maladie d’Alzheimer n’est pas une maladie de la vieillesse mais celle de la cinquantaine. La plupart des gens de plus de 80 ans sont affectés par des troubles classés abusivement Alzheimer, se singularisant par un vieillissement cérébral responsables de troubles cognitifs.

La disparition des neurones provoquée par l’activation des programmes de mort cellulaire est impliquée dans le processus de neurodégénérescence liée à l’âge.

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Un effet anti-âge réel mais pas complètement élucidé

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Bien que le ganoderma soit utilisé comme élixir depuis des milliers d’années, les études révélant son effet anti-âge ne sont pas complètement élucidées.
Que Ganoderma lucidum exerce un effet anti-âge reste un mystère.

Les effets anti-âge s’expliquent par la présence de polysaccharises, les triterpènes, l’adénosine, les vitamines, le germanium, les acides aminés, l’acide oléique, l’acide ribonucléique et des protéines immuno-modulatrices.
Ces composants favorisent tous le développement de cellules nouvelles saines.
Les spores du ganoderma sont remplies d’un principe vital absolument inimaginable et permettent de recharger les forces vitales en ce que les orientaux appellent le QI.

Le QI concentré dans ces spores rend 100 fois plus actifs les principes du ganoderma que nous connaissons sous forme liquide. C’est cela qui permet de penser que ce champignon est le principal anti-âge connu actuellement.

Le Ganoderma (Reishi) que nous avons sélectionné (voir nos annonceurs partenaires) est exceptionnel de vitalité. Cette marque est une référence ancienne à l’efficacité reconnue, en magasin diététique. Nous ne mettons pas de lien direct sur cet article car c’est interdit par la loi.

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