Incroyable Herbe des Mayas !

EfrainPhoto Neptunya.fr – Dans la tradition des peuplades d’Amérique Centrale, l’amaranthaceae ou encore Herbe des Mayas était une plante qu’on utilisait dans des situations pathologiques tumorales comme le cancer de la prostate, du sein, de l’ovaire, du cerveau et des intestins…
L’herbe des Mayas se rencontre principalement en Amérique Centrale à plus de 2000 mètres d’altitude et se singularise par son activité anti-inflammatoire, antiseptique et antimitotique.

C’est seulement dans les années 1960 qu’un thérapeute nicaraguayen, Efrain Contreras (photo ci-dessus), redécouvre les immenses possibilités thérapeutiques de cette plante à savoir :

– Etats dépressifs
– Hyperactivité infantile
– Troubles mictionnels dus à une hypertrophie de la prostate
– Différentes pathologies tumorales

En 1982, une étude clinique «  Action thérapeutique de l’Iresine Celosia »( amaranthaceae) légitimée par les directives de l’Organisation Mondiale de la Santé » fut menée au Nicaragua par une commission médicale détachée par le Ministère.
L’étude révéla que cette plante ne présentait aucun risque pour la santé et s’avérait hautement efficace dans les sphères suivantes :
– Estomac
– Col de l’utérus
– Sang
– Sein
– Prostate
Cette fameuse herbe des Mayas a été utilisée de manière favorable sur des personnes affectées au niveau de l’utérus et du sein (pathologies dégénératives).

C’est peut-être au niveau de la prostate que les résultats furent les plus évidents. Ainsi, on a observé une diminution de la dimension de la glande jusqu’à 30 voire 40% ainsi qu’une baisse de la douleur et des symptômes urinaires.
Finalement, la glande prostatique a pu retrouver sa taille normale.

C’est donc une plante remarquable :

L’amaranthaceae possède un flavonoïde bien particulier. Ce dernier a une puissante action anti oxydante sur toutes les cellules.

Les études concordent : l’herbe des Mayas est capable de diminuer la dimension des tumeurs palpables jusqu’à réussir à les éliminer et en plus, on n’observe aucune récidive…

Il est certain que cette herbe des Mayas possède des vertus anti tumorales et une action cytostatique au vu des guérisons observées sur des malades souffrant de cancers.

Dans les cas de cancer du col de l’utérus

L’herbe des Mayas peut faire disparaître les décharges vaginales qu’elles soient ou non hématiques de même que les douleurs associées à ce type de cancer

Carcinomes mammaires aussi !

Pour les carcinomes mammaires opérés longtemps auparavant et examinés pour métastases in situ et à distance, les métastases in situ ont disparu après 12 à 15 jours de traitement et celles à distance se sont améliorées.

Carcinomes gastriques encore !

Les doses préopératoires ont invariablement fait diminuer la dimension de la tumeur palpable…. Suivies de chirurgie et de médication jusqu’à 6 à 8 mois après l’opération avec contrôle périodique par radiographie, examen gastroduodénal et dans certains cas gastroscopies. Aucune récidive, aucun décès à signaler, même chez des personnes très âgées et en mauvaise santé…

Pourquoi d’après vous, personne n’a jamais entendu parler de cette plante ?

Cette même question pourrait se poser pour le traitement alternatif des docteurs Beljanski, Solomidès et celui tout aussi révolutionnaire du docteur Gernez….
Cela s’applique tout autant au lapacho qu’au germanium…

Ces thérapies sont trop « rebelles » pour trouver leur place dans un protocole que l’on est en droit d’attendre en milieu hospitalier.
Il ne nous appartient pas de porter un jugement sur les méthodes thérapeutiques adoptées. Cependant, qu’en est-il de celles qui, parce qu’elles ne sont pas « médicamenteuses », sont refoulées au nom d’un certain obscurantisme médical ?

La nature, qui est le plus grand laboratoire pharmaceutique connu à ciel ouvert, serait-elle moins performante que ce que l’homme a créé de matière artificielle ? Pas sûr…
Les intérêts ne sont pas les mêmes !

Roland Reymondier
Conseiller en produits de nutrition