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Réflexion sur la Tuberculose et aujourd’hui le Covid-19

La maladie qui a fait le plus de morts par contagion dans notre cher pays de France ne s’appelle pas Covid-19 mais la tuberculose. Malgré les antibiotiques, la tuberculose sévit encore aujourd’hui dans le monde. C’est un fait qui mérite réflexion à l’heure du Covid-19.

Quels sont les chiffres officiels pour la Tuberculose aujourd’hui:

Oui actuellement encore, la tuberculose est première au hit parade des morts par infection dans le monde.

Voyons les chiffres:

  • La tuberculose est l’une des 10 premières causes de mortalité dans le monde.
  • En 2018, 10 millions de personnes ont contracté la tuberculose et 1,5 million en sont mortes (dont 251 000 porteurs du VIH).
  • La tuberculose est la première cause de mortalité chez les VIH-positifs.
  • On estime qu’en 2018, 1,1 million d’enfants ont fait une tuberculose et que 251 000 en sont morts (parmi lesquels des enfants ayant une tuberculose associée au VIH).
  • La tuberculose multirésistante continue à causer une crise de santé publique et reste une menace pour la sécurité sanitaire. L’OMS estime à 484 000 le nombre de nouveaux cas présentant une résistance à la rifampicine – le médicament de première intention le plus efficace, dont 78 % sont des cas de tuberculose multirésistante.

Ma question est la suivante:

Une maladie qui tue toujours et encore 1,5 million de personnes par an et qui ne fait pas la une des journaux est-ce normal ?
Tout compte fait la dernière pandémie en date (notre coronavirus favori) celui dont on parle beaucoup tue bien moins même si je n’aime pas cette comparaison.

Je pense avoir trouvé la réponse.

Cette science des vaccins, des antibiotiques, des médicaments omniprésents et qui piétine encore sur une maladie de consomption qu’on relègue au XIX Siècle n’est-ce pas troublant non ?
Jean Jacques Rousseau, Molière, Honoré de Balzac, Albert Camus, Voltaire mais aussi tous les anonymes de nos cités de grande solitude meurent encore de cette terrible affection… les médias n’en parlent jamais !
Au siècle dernier mouraient 100 000 personnes par an de la tuberculose en France, actuellement le chiffre est moindre mais pas négligeable car avec une autre épidémie moderne, la pauvreté, le chiffre ne cesse de monter chaque année.

Et bien savez-vous qu’en d’autres temps on guérissait de la tuberculose avec la puissance du soleil et de ce que l’on nommait l’héliothérapie.

LE SOLEIL un agent oublié pour guérir la tuberculose

Au début du XXème siècle, à un moment où les progrès spectaculaires de la chirurgie opératoire avaient permis un instant do croire qu’elle allait guérir des tuberculeux par le bistouri, Rollier a poussé un cri d’alarme en rappelant que la tuberculose est une maladie générale et qu’il fallait avant tout traiter le malade entier pour le guérir de sa maladie. Par une inlassable patience qu’il a su faire partager à ses malades, associée à une imagination technique et orthopédique fertile, il a su obtenir du traitement conservateur, appliqué dans des conditions hygiéniques et climatiques idéales, les résultats les meilleurs et les plus durables.

En faisant bénéficier au maximum ses malades des vertus curatrices du grand air et, de la lumière solaire, il a réalisé le rôle éminent que ces deux éléments exercent sur la santé générale.

Il a contribué à vulgariser l’édu­cation en plein air et à la lumière, facteur prophylactique de santé.

Le troisième domaine dans lequel il a été un créateur et un novateur, c’est en faisant de la médecine «psycho-somatique» avant la lettre. Il n’a cessé de se préoccuper de la santé morale de ses malades, de la nécessité d’occuper sainement ses fonctions intellectuelles et psychiques pendant l’immobilisation prolongée nécessitée par le traitement; de le préparer tout au long de ce traitement à son retour dans sa famille, dans sa vie professionnelle et dans la société.

Les succès du traitement de la tuberculose pulmonaire par des séjours à l’altitude en Sanatorium commençant à être connus (Sanatorium bernois à Heiligenschwendi 1892 et bâlois à Davos 1897), Auguste Rollier décide de s’établir comme chirurgien à Leysin ou il ouvre sa première clinique dans une ancienne pension («Le Chalet»).

Les malades qu’il voit sur place ou qu’on lui adresse d’ailleurs suite à ses publications sont généralement dans un état grave, voire cachectique, vu l’évolution lente et peu caractéristique des localisations extrathoraciques entraînant souvent des fistules qui finissent par attirer l’attention des médecins.  En l’occurrence on avait affaire à la tuberculose osseuse qui a fait d’énormes ravages.

Pour les raisons mentionnées plus haut, il s’intéresse très vite aux résultats préliminaires encourageants de l’héliothérapie obtenus en 1902 par Bernhard à Samedan. Grâce à l’observation rigoureuse des effets locaux et généraux de ce traitement sur les malades, Auguste Rollier en établit les modalités  – qui resteront en vigueur jusqu’à l’apparition des antibiotiques 50 ans plus tard! Parallèlement il s’impose une grande retenue interventionnelle et élabore des méthodes orthopédiques conservatrices. De plus, la fréquence des fistules, souvent multiples, et l’étude précise de l’évolution de ses patients sous ce traitement lui font progressivement abandonner les plâtres au seul profit de mesures de décharge sur des lits qu’il développe («lits Rollier») permettant des positionnements appropriés et des tractions, si nécessaire.

Ils guérissent leur tuberculose par l’alimentation naturelle et créent des modes d’alimentation saine

Georges Ohsawa:

Il est né à Kyoto le 18 octobre 1893, sous le patronyme de Nyoiti Sakurazawa, devant le temple Tenryu a-t-on dit, sous le nom de Nyoiti Sakurazawa. Il connut une enfance difficile. Son père abandonna le foyer conjugal laissant son épouse malade de la tuberculose avec quatre enfants dont trois moururent en bas-âge. (Sa mère décéda elle même à 29 ans). A l’âge de 15 ans (en 1908) il est lui-même atteint d’une tuberculose pulmonaire et intestinale dont les médecins ne parviennent pas à le guérir.

Il a la chance de connaître le docteur Hiziduka Sagen (1850-1910), un ancien médecin militaire hors normes, nutritionniste renommé, adepte de la physiognomonie et des thérapeutiques naturelles, qui le prend en mains et le débarrasse durablement de son affection.

Il va devenir par la suite le propagateur d’un mode d’alimentation de vie qu’il va dénommer MACROBIOTIQUE.

Gayelord Hauser:

Diététicien américain d’origine allemande. Né à Tübingen (Allemagne) en 1895, Gayelord Hauser est le dixième et dernier enfant d’une famille luthérienne. Très jeune, il est atteint d’une tuberculose grave de la hanche et part aux États-Unis rejoindre son frère pasteur à Chicago, dans l’espoir d’y être mieux soigné qu’en Allemagne.

Il revient dans son pays, toujours malade, et le docteur Lutz, médecin naturopathe pratiquant de véritables traitements par les aliments frais, parvient à le guérir. Il termine alors ses études, obtenant un doctorat ès sciences.

Dans les années 1930, il publie un deuxième ouvrage : Manger pour être belle. C’est à cette époque qu’il rencontre le magnat de la presse William Randolph Hearst, qui lui propose de tenir une chronique régulière dans un de ses journaux. Devenu célèbre, il est appelé à Hollywood pour prendre soin de la santé de stars comme Greta Garbo, dont la beauté naturelle est demeurée légendaire ! En 1936, il ouvre un cabinet à New York dans l’Empire State Building et écrit un nouveau livre qui sera publié en 1945 : Vivez jeune, vivez longtemps.

Docteur Paul Carton ( au début du siècle dernier)

De constitution physique extrêmement faible et sensible, surtout au niveau digestif, il ne supportait pas la surabondance des aliments « fortifiants » que ses parents lui donnaient. Aux souffrances physiques et psychiques se rajoutèrent celles dues aux traitements et médicaments qu’il ne supportait pas, deux ans de corset en cuir et acier gardé jour et nuit pour corriger une scoliose. L’enfance de Paul Carton ne fut pas heureuse et sa scolarité fut très difficile au départ. Myope, il ne pouvait suivre les démonstrations au tableau. Mais sa volonté de fer, ses dons d’observation et de synthèse prirent peu à peu le dessus.

Finalement, il obtint un prix d’honneur à l’école, fit de solides études classiques, réussit son baccalauréat et entra à la Faculté de médecine. Au cours de ses études médicales, son état de santé ne fera qu’empirer, mais grâce à sa volonté et à sa persévérance, il poursuit ses études. En 3è année, il devient interne, prépare les concours et les réussit brillamment. Il travaille ensuite à l’institut Pasteur puis est nommé chef de laboratoire à la Pitié. Plus tard, il exerce à Paris, mais la pénible vie de médecin-praticien achève de dégrader sa santé : il développe une tuberculose et à 30 ans est envoyé en sanatorium.

Il guérit de la tuberculose par une méthode d’alimentation saine qu’il baptise  » synthèse hippocratique cartonienne » qu’il va diffuser au travers de plusieurs ouvrages et notamment  » la cuisine simple ».

Alors vous comprenez pourquoi personnellement j’adhère assez peu à la propagande actuelle.

Je sais que la santé, la vraie, passe par une réforme de notre manière de vivre et de manger. C’est pourquoi l’analyse de la crise actuelle doit passer aussi par une énorme médiatisation sur les dangers d’une alimentation désordonnée voire fast food. L’exemple des Etats-Unis a montré une co-morbidité énorme a mettre certainement en relation avec la proportion d’obèses, diabète type 1 et 2 du pays.

Roland Reymondier

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