nouvelle phyto-assistance thyroïdienne
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Le Tyro+ : nouvelle phyto-assistance thyroïdienne

Actuellement, près de 3 millions de personnes en France sont sous Lévothyrox, soit suite à l’ablation totale de la thyroïde, soit pour aider la thyroïde, soit pour mettre la glande au repos. Dans un précédent article, j’ai dénoncé les abus opératoires pour présence de nodules, visant le dopage du volume de tutelle à vie de gens privés de thyroïde.
En fait, le nuage radioactif de Tchernobyl, en 1986, qui a été suivi à l’époque d’un déferlement de cancers de la thyroïde en Europe – et même de leucémies dans les régions les plus touchées – a été une formidable opportunité pour lancer le Lévothyrox. Les cabinets d’endocrinologie se sont multipliés pour le dépistage, et cela a entraîné un déferlement d’ablations de la thyroïde, accompagnées de prise de Lévothyrox à vie.

Nota : Nodule chaud = bénin – Nodule froid = suspect
Mais, 10% seulement des nodules froids sont réellement cancéreux.

Finalement, sur 100 nodules thyroïdiens détectés, seuls 4 sont réellement cancéreux, et ils évoluent extrêmement lentement, ce qui signifie que beaucoup de personnes ont perdu leur thyroïde pour rien.

COUPS BAS DE BIG PHARMA

Depuis 1850, il existait sur le marché un produit très simple nommé Thyroïdine, à base de thyroïde de porc (bio) séchée et réduite en poudre. Pourquoi le porc ? Parce que, comme nous le savons, c’est l’animal qui biologiquement est le plus proche de l’homme, et en particulier sa thyroïde. Bien que je n’aime guère l’utilisation médicale des produits animaux, vu les millions de cochons qui sont sacrifiés pour l’alimentation humaine mondiale, cela ne change rien à la triste condition porcine.

Le problème était que ce vieux produit non chimique et pas très cher était en concurrence avec le Lévothyrox de Merck, d’autant plus qu’il ne présente pas certains inconvénients de la thyroxine de synthèse qui peut augmenter les risques cardiaques et entraîner des carences en fer et calcium.
Or, en 2006, un médecin et un pharmacien parisiens se sont associés pour lancer sur le marché des pilules amaigrissantes, dans lesquelles ils avaient introduit 800 fois la dose admissible de Lévothyrox par cachet ! Bien sûr, une partie des patients « cobayes » se sont retrouvés à l’hôpital. Les deux compères, mis en examen, ont juré qu’il s’agissait de thyroïde naturelle (type Thyroïdine). Avant qu’une vérification soit effectuée, l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) fit préventivement retirer ce produit de la vente sur deux mois. Curieusement, cette suspension n’a jamais été levée et elle est devenue définitive bien que l’enquête ait abouti à une supercherie mensongère.

Cette affaire paraissant tellement grosse et cousue de fil blanc, mon ressenti intime est le suivant : Merck, désirant éliminer un vieux produit concurrent, meilleur que son Lévothyrox, a dû nommer (et probablement rétribuer) deux « taupes » pour monter un scandale afin de disqualifier la Thyroïdine (en dépit d’un siècle et demi sans problème particulier), cela suivi d’un gel des conclusions de l’enquête judiciaire. Ensuite, le temps passant et la mémoire courte des gens aidant, le tour fut joué ! Pourtant cet « oubli » n’a pas été appliqué à l’étranger.

Cette imposture a rebondi sur un médecin non aligné, le Dr Didier Panizza, créateur d’un centre spécialisé à Paris et renommé depuis longtemps dans le traitement de l’obésité d’origine hormonale. Il lui a été reproché, comble de culot, de prescrire à ses malades de la Thyroïdine que l’on trouve sans problème en Belgique, en Allemagne, aux USA, au Canada, etc.

Le 8 décembre 2017, le Dr Panizza devait comparaître devant la Cour d’appel après des péripéties de procédures sans fin. Qu’est-il advenu de lui avec cet appareil judiciaire politiquement soumis à la dictature française de Big Pharma ? Silence radio et mystère !

NOUVELLE IMPOSTURE ENVERS LES THYROÏDO-DÉPENDANTS

Non encore satisfait du marché juteux de son Lévothyrox, Merck adepte du « toujours plus », a encore tiré sur la corde en simplifiant la composition du produit à des fins d’économie accrue (peut-être même sans reposer d’AMM). Mais là, la corde a cassé, suite à une levée générale de plaintes pour effets collatéraux plus ou moins graves parmi les prisonniers de ce traitement pour leur survie.

Je n’entrerai même pas dans les péripéties de ce nouveau scandale, et je suis toujours étonné que le seul réflexe instinctif des gens, lorsqu’ils sont confrontés à une injustice, soit LA PETITION adressée aux autorités. D’autant plus qu’encore une fois, la malveillance a l’air de ne s’appliquer qu’à la France. Cela fait des années que je répète que les pétitions vont… à la poubelle ! Guère mieux sont les démarches juridiques qui traînent, coûtent cher, et ne sont pas forcément appliquées après gain de cause. Chers amis, il faut réaliser que vos bourreaux administratifs sont des valets et qu’ils ne sont pas là pour défendre vos intérêts (votre santé), mais ceux de leurs maîtres.

POURQUOI FAIRE SIMPLE QUAND ON PEUT FAIRE COMPLIQUÉ ?

Au lieu de perdre son temps avec des procédures en règles que l’on vous impose, pourquoi ne pas sortir de l’épure qui présente au départ 3 solutions faciles au choix :

1 – Hors frontières :

Se procurer le Lévothyrox original dans un pays limitrophe.
Se procurer la Thyroïdine classique en Belgique ou en Allemagne… (sauf si l’on est végétarien intégriste ou musulman)…

2 – Dans l’hexagone :

Vous pouvez opter pour la phyto des médecines naturelles. Il existe différents produits sur le marché qui sont d’une plus ou moins grande efficacité concernant la régulation thyroïdienne en hypo ou/et en hyper. J’en ai sélectionné plusieurs, successivement de mieux en mieux, avant d’en arriver à celui que je pense être le plus performant : Le Tyro+.

LES MÉCANISMES THYROÏDIENS

D’abord, c’est la TSH du sang qui transmet les ordres de l’hypophyse à la thyroïde, d’où l’utilité d’effectuer son dosage :
Moins de 0,5 mU/L = hyperthyroïdie
Plus de 4,5 mU/L = hypothyroïdie

Rappel : La thyroïde, petit nœud papillon situé à la base du larynx, est composée de cellules folliculaires qui produisent quatre hormones : la T1, la T2, la T3, et la T4 (thyroxine), et des cellules C parafolliculaires qui contrôlent la régulation du calcium et du phosphore.
Or, il se fait que la thyroïde fabrique surtout de l’hormone T4 mais peu d’hormone T3 qui est indispensable pour faire fonctionner l’ensemble du système endocrinien. Fort heureusement, la T4 peut être transformée, grâce à une enzyme spéciale, en T3 (hormone active) mais aussi en RT3 (hormone inactive). Si cette dernière est prépondérante, la thyroïde ralentit ou s’arrête.
Tout ceci laisse voir que les problèmes thyroïdiens demandent une grande finesse d’analyse.
Par exemple, en cas de carence en T3, le Levothyrox qui est pourvoyeur de T4 est inutile. Idem pour les patients qui ne peuvent faire la transformation de T4 en T3. Toutes ces subtilités de fonctionnement n’ont plus à être vraiment prises en compte lorsqu’on utilise la Thyroïdine ou Tyro+.

TROUBLES POSSIBLES PAR HYPOTHYROÏDIE

  • Audition : troubles
  • Cheveux cassants ou perte
  • Concentration difficile
  • Constipation
  • Crampes musculaires
  • Déprime
  • Fatigue constante
  • Fourmillement des extrémités
  • Immunité faible
  • Infections récurrentes
  • Insomnies
  • Lombalgie
  • Mémoire défaillante
  • Migraines
  • Mouvements lents
  • Pâleur
  • Paumes de mains et plantes de pieds jaunes
  • Peau : sécheresse ou épaississement
  • Perte de la libido
  • Raisonnement lent
  • Réflexe achilléen lent
  • Règles : problèmes
  • Sourcils : éclaircissement
  • Tendinite résistante
  • Vertiges
  • Visage bouffi
  • Vision floue
  • Voix rauque

CAUSES SIMPLES DES DÉRÈGLEMENTS

Les métaux lourds

Ils sont sans conteste la cause principale des dérèglements hormonaux. La thyroïde est la glande qui capte le plus d’éléments de notre environnement, en particulier les métaux lourds. Le corps déclenche alors une réaction immunitaire dirigée contre sa propre thyroïde afin d’atteindre ces métaux qui y sont cachés. C’est la raison pour laquelle, en plus de la très fréquente carence en iode, beaucoup d’entre nous présentent une hypothyroïdie larvée non détectée par les dosages classiques de TSH.
Le dosage de la TSH nous renseigne sur l’efficacité du travail de la glande mais seule la mesure des anticorps antithyroïdiens nous permet de déterminer la présence de métaux lourds, ou une carence en iode.

La simple carence en iode

Si vous manquez d’iode, vous ne fabriquez pas d’hormones thyroïdiennes. Les carences en iode proviennent d’une alimentation trop pauvre en calcium d’origine marine (sardines, algues) mais aussi de la consommation excessive d’aliments goitrigènes inhibiteurs de la glande comme le chou, le chou-fleur, le rutabaga ou le navet.

UN APPORT D’IODE CONTRÔLÉ PAR LA PEAU

À défaut d’un test d’iodurie urinaire, vous pouvez effectuer un apport d’iode facile qui sert aussi de test. Il suffit de badigeonner de la teinture d’iode de pharmacie sur des parties discrètes du corps, telles l’intérieur des cuisses ou des bras.

– Si la couleur marron disparaît en 24h ou moins, vous êtes carencé(e), alors continuez
– Si la couleur marron persiste plusieurs jours, c’est que votre organisme est saturé en iode

Nota : La réduction d’accès à la teinture d’iode en pharmacie, comme si c’était dangereux, serait-elle encore une malveillance pour saper notre autonomie ? Nos grands-mères en mettaient une goutte dans les biberons pour activer l’intelligence des bébés…

COMPOSITION DU TYRO+

  • Tyrosine
  • Spiruline
  • Maca
  • Levure enrichie en sélénium
  • Fucus vesiculosus
  • Stéarate de magnésium (anti-agglomérant)

POSOLOGIE STANDARD

1 gélule matin et soir.

PROCÉDURE DE TRANFERT LÉVOTHYROX > TYRO+

Attention :
Le transfert doit se faire progressivement. Le problème est qu’il faut 10 jours pour que le nouvel équilibre hormonal s’établisse. Il faut donc refaire 3 ou 4 fois le dosage TSH (thyréostimuline du sang). Ainsi, il peut se produire que l’on passe de hypo à hyperthyroïdie.

Troubles possibles par hyperthyroïdie

• Agitation
• Amaigrissement
• Appétit excessif avec perte de poids
• Coups de chaud ou froid sans raison
• Crampes d’estomac ou douleurs abdominales
• Cycle menstruel : troubles
• Diarrhées
• Douleurs et fatigue musculaires
• Éréthisme cardio-vasculaire
• Flatulences
• Intolérance aux températures élevées
• Irritabilité
• Maux de tête
• Nervosité ou irritabilité
• Ostéoporose
• Perte de cheveux
• Seins : augmentation de volume
• Soif et mictions abondantes
• Sommeil : troubles
• Sueurs et mains moites
• Tachycardie
• Transpiration
• Tremblements

Donc, on fait demi-dose de Lévothyrox et demi-dose de Tyro+. Si l’équilibre est correct, on fait ¼ de dose, puis ¼ de dose 1 jour sur 2 pendant que l’on augmente le Tyro+.
Si l’on part en hypo ou en hyper on fait marche arrière ou on corrige.

MAIS L’AFFAIRE PEUT ÊTRE PLUS COMPLIQUÉE

Ce qui suit s’inspire des études du Dr. Michael Lam, expert en médecine nutritionnelle et en médecine antivieillissement (Californie, USA). Ses travaux ont mis en évidence que l’hypothyroïdie peut être primaire ou secondaire, et que la fatigue surrénale est très souvent la cause primitive de l’insuffisance thyroïdienne. Cette éventualité est pourtant négligée ou ignorée des médecins car ils sont peu formés à faire cette relation.
À titre de rappel, les deux glandes surrénales siégeant au sommet des reins sécrètent des hormones comme le cortisol, l’adrénaline et la noradrénaline qui réagissent aux stress. On peut dire que ce sont, entre autres, « les glandes coup de feu ». Lorsque celles-ci sont affaiblies ou épuisées, leur capacité à gérer en particulier le stress se trouve compromise. Mais il faut assurer la survie, alors les glandes surrénales envoient des ordres pour mettre l’organisme en économie énergétique, en ralentissant son métabolisme général. Or, c’est la glande thyroïde qui a la charge de contrôler ce métabolisme, et qui va, pour ce faire, réduire sa production des hormones T4 et T3.
Le problème est que dans des situations de stress récurrents, les boosters thyroïdiens ou mêmes les traitements de substitutions classiques vont à l’encontre des ordres des surrénales à ralentir le métabolisme, ce qui aboutit à un résultat contre-productif.
Le Dr Lam écrit : « Ce que le corps veut ralentir et ce que la thérapie thyroïdienne veut accélérer sont diamétralement opposés. Aussi, dans de nombreux cas, traiter l’hypothyroïdie sans renforcer au préalable les glandes surrénales, c’est comme mettre de l’huile sur le feu. Un système surrénal déjà faible, en manque d’énergie, peut ne pas être capable de supporter la charge d’une dépense énergétique supplémentaire. Les glandes surrénales ont besoin de repos, pas d’un surcroît de travail. »

BILAN DE L’ÉTAT DES SURRÉNALES PAR LE TEST DE LA SALIVE

La meilleure façon de tester l’état des glandes surrénales est de mesurer la fraction libre des hormones surrénales clés. La salive est un outil de choix reconnu, dans la mesure où y est dosée la fraction libre des hormones circulantes au lieu des hormones liées à leurs protéines-porteuses habituellement dosées dans le sang.

La salive est un ultra-filtra naturel du sang. La fraction libre des stéroïdes non liés à leurs protéines-porteuses y diffuse librement (alors que les protéines porteuses sont de trop grosses molécules pour y pénétrer). L’analyse hormonale de la salive est donc plus fiable que le dosage des hormones circulantes sanguines liées aux protéines.

LE BON CHOIX D’UNE ASSOCIATION PRÉVENTIVE

Pour faire simple, nous avons choisi d’apporter un soutien systématique des surrénales, ce qui ne peut aller que dans le bon sens, à moins que l’on décide d’effectuer le test salivaire. Il y a différentes façons de soutenir les glandes surrénales d’une façon naturelle et respectueuse de l’intégrité organique, comme l’homéopathie, la phyto-aromathérapie, etc., mais nous avons préféré une formule plus simple qui est le chlorure de magnésium en transcutané par spray. Ceci fait l’objet d’un autre article plus loin, à la rubrique 9.

En fait, nous avons pu constater que les résultats associés au TYRO+ étaient bien souvent plus performants avec l’association du magnésium en spray, ce qui semble signifier qu’il y a beaucoup plus de gens que l’on pense qui sont en état de fatigue, voire d’épuisement de leurs surrénales.

MODE D’APPLICATION DU MAGNÉSIUM SPRAY

Pulvériser matin et soir le produit dans le dos, dans les zones in situ du haut des deux reins.
On peut aider à la pénétration cutanée par un massage local, l’intelligence de la peau fera le reste.

Notre sélection de produits

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