Urgent : protection contre la pollution liée à la canicule !

Copie de P1020501Ions négatifs montagne – Actuellement, la pollution de l’air agit plus sûrement que n’importe quel autre poison, soyons en sûr !
Parmi les facteurs dangereux de cette pollution figurent certains gaz dont la présence est difficile à déceler. En tout premier lieu, il y a le monoxyde de carbone,

un gaz qui résulte de toutes les combustions et surtout les plus défectueuses. Le dioxyde de souffre provient quant à lui de la combustion du fuel et du charbon et le fluor et le chlore sont principalement dus aux émanations de toutes les usines chimiques.

Le plus dangereux des gaz est certainement le monoxyde de carbone car il est invisible et sans odeur. Il a une force de pénétration incroyable, tenez-vous bien : il se fixe sur les globules rouges 250 fois plus vite que l’oxygène empêchant la fixation de celui-ci sur l’hémoglobine. Le danger réside dans le fait que les tissus meurent alors par manque d’oxygénation.

Un volume énorme de monoxyde de carbone dans l’air agit insidieusement sur le cerveau, cela se traduit par une fatigue, un affaiblissement du sens critique et un manque de jugement.

Sachez que les moteurs automobiles tournant à l’arrêt devant les feux rouges laissent échapper 10 fois plus de gaz que lorsque la voiture roule et, empoisonnent l’air de nos villes. Un petit moteur à essence produit 13 litres de monoxyde de carbone à la minute.

Ceux qui choisissent la « clim » courent un danger réel, car le gaz va prendre du volume dans un habitacle fermé du fait que les vitres ne sont plus baissées. La disparition extrêmement rapide de l’oxygène dans une voiture fermée est insidieuse surtout quand le conducteur est sous l’effet de l’alcool. On est loin de se douter que les zigzags sur l’autoroute et le sommeil au volant puissent venir de l’affaiblissement des facultés mentales du conducteur, intoxiqué par le monoxyde de carbone.
On a pu relever une proportion de 20% de monoxyde de carbone dans le taux d’hémoglobine des agents de la circulation.

Quelques chiffres : en Europe centrale, les voitures produisent environ annuellement quelque 35 milliards de mètres cubes de gaz d’échappement, auxquels il faut ajouter 12 à 15 millions de kg de poussières de caoutchouc et d’asphalte.

Comment s’étonner que les habitants des grandes villes renferment dans leur sang deux fois plus de monoxyde de carbone que les habitants des campagnes ?

Actuellement, les pouvoirs publics ne nous informent pas vraiment de ces dangers car cela est en rapport direct avec une remise en question de l’omniprésence de la voiture dans notre vie quotidienne.

Le réel pouvoir de dépollution de la chlorophylle…

La chlorophylle est le pigment végétal qui donne aux plantes et aux algues leur couleur verte. Elle absorbe la lumière solaire et utilise son énergie pour synthétiser des glucides à partir du gaz carbonique. Cela se nomme photosynthèse et c’est la base de la vie sur terre. Il n’y a pas de vie sans chlorophylle.

Quand nous sommes confrontés à cette forte pollution de l’atmosphère, c’est à cette chlorophylle à laquelle nous devrions penser.

Outre les épinards, les orties, tous les légumes verts, la spiruline et la klamath sont les aliments les plus riches en chlorophylle. Certains compléments contenant des extraits de luzerne semblent parfaitement convenir.
Pour celles et ceux qui veulent en savoir plus, voici un excellent article : site Ma santé naturelle.com 

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