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L’épigénétique à travers la vie de Rika Zaraï

L’épigénétique peut sauver votre vie comme elle l’a fait pour Rika Zaraï dans les années 1970. Rika Zaraï nous a quittés à 82 ans dans la nuit de mardi à mercredi 23 décembre 2020. Pour ceux qui s’en souviennent, l’artiste avait souhaité se suicider alors qu’elle était hospitalisée avec son époux suite à un accident.
Image par Devon Breen de Pixabay

L’accident qui a failli aboutir au suicide

Le 9 novembre 1969, la vie de Rika Zaraï bascule. La chanteuse est victime d’un tragique accident de voiture alors qu’elle était en route pour rejoindre Paris avec son mari Jean-Pierre et son amie Jocelyne.

 « Le visage de Jean-Pierre heurte violemment le volant, Jocelyne est projetée contre le pare-brise. Pour ma part, six jours de coma » raconte-t-elle à Paris Match en 2008. Le bilan est lourd : « Deux vertèbres fêlées, une vertèbre lombaire pulvérisée, trois traumatismes crâniens, les tendons de la main gauche arrachés et le poignet cassé. Je me découvre prisonnière d’une gangue de plâtre qui immobilise mon corps. » Voici ce qu’elle confit

 Les médecins en sont sûr avec un traumatisme crânien, et des vertèbres brisées: elle ne remarchera jamais. 

Totalement bouleversée, Rika Zaraï pense alors au suicide et ne veut plus vivre.

Alors, pour en finir sans que personne ne s’en rende compte, elle va tenter quelque chose grâce aux calmants distribués avec largesse par les infirmières. Elle expliquait : « Les infirmières me donnent chaque jour des pilules, que je ne n’avale pas et que je stocke dans un mouchoir sous mon matelas. J’en ai amassé quatorze. » Un soir, après avoir souhaité bonne nuit à son mari hospitalisé dans la même chambre qu’elle, Rika est décidée à se donner la mort pour abréger ses souffrances. Pourtant, cette nuit qui aurait dû lui être fatale va devenir « la plus constructive » de sa vie. « C’est décidé : je vais tirer ma révérence. Jean-Pierre s’endort. Je repense à tous les miens, à mes parents. Ce sera un coup mortel pour eux. Mais impossible d’agir autrement.

2 heures. Je tiens à la main mon cocktail de pilules, le verre est rempli d’eau. Puis quelque chose bascule : plus je me fais de reproches, plus je réalise que je n’ai pas assez vécu. » racontait l’artiste.

Mais un évènement fort survient. Une voix intérieure pousse cette femme peu ordinaire à ne jamais abandonner et à reprendre le flambeau plus forte et déterminée que jamais.

Le déclic intérieur qui la sauve

Elle explique  » 4 heures du matin, la colère me procure de l’énergie. Au milieu du vacarme dans ma pauvre tête, j’entends une voix. Elle m’enveloppe, vibre d’espoir.
Elle me dit que je n’ai pas tout essayé, qu’il existe quelque part un moyen de surmonter ce destin. Jusqu’à l’aube, cette voix insiste, me harcèle. Quelque chose vient de changer, à partir de cet instant, chaque parcelle de  moi refuse le handicap. Ma colère se transforme en rage de vivre. »

Maintenant Rika veut vivre en se jurant de ne jamais perdre espoir. Finalement Rika comprend une chose  » Le suicide ne dénoue rien. Se donner la mort, c’est en fait renier la  nature et s’opposer à elle »

Plus déterminée que jamais, elle décide de se battre et oublie même l’idée de suicide.

Une nouvelle vie qui témoigne de la réalité de l’épigénétique

La rencontre avec Raymond Dextreit

Elle fait une rencontre exceptionnelle en la personne de Raymond Dextreit et entreprend en quelque sorte la rénovation de son corps et elle y arrive…. Avec patience et des centaines d’application d’argile sur la colonne vertébrale….Elle se reminéralise et refait un tissu neuf…. Elle ne se paralyse pas.

Elle adopte un art de vivre sain qui lui donne une énergie fabuleuse. Elle se remet à chanter et même à donner des prestations sur les planches comme au bon vieux temps du kased choc .

Oui guérie, rajeunie, elle va écrire un livre de pratique naturelle qui va se vendre à 3 millions d’exemplaires et c’est le succès suivi d’un désenchantement.

Car, comment se faisait-il qu’une chanteuse de variété puisse affirmer pouvoir prodiguer des conseils de santé alors qu’elle n’appartenait pas au corps médical.

Elle voulait témoigner, elle voulait convaincre et elle a suscité une levée de boucliers de la part de ceux qui l’avaient condamnée.

Se guérir par des  moyens  » autres  » que ceux de la chimie, c’était pas tendance en 1985, cela malheureusement l’est encore moins actuellement.

Rika, nous ne t’oublierons pas

En 2013, quelques années après avoir été victime d’un AVC, Rika Zaraï était revenue sur ces accusations. « Je ne suis pas une vieille midinette qui chante uniquement les fleurs, le ciel bleu. J’avais étudié la santé pendant dix ans avant d’écrire [mes livres], ce n’était pas une lubie. Manger cinq fruits et légumes par jour, je le disais déjà à l’époque », assurait-elle au Parisien.

En fait les médias après avoir vanté les bienfaits des soins de Rika Zaraï, se sont retournés contre elle et finalement l’ont bien ridiculisée comme dans l’émission  » Les grosses Têtes » de Philippe Bouvard.

Alors, le bien qu’elle avait apporté à des millions de personnes serait-il oublié ? Elle est partie, sans finalement avoir pu faire reconnaître les bienfaits de la médecine naturelle, à l’instar d’autres médecins de renom.

Merci Rika, toi qui bien avant nous, était une vraie Actrice Nature.

Nous ne t’oublierons jamais.

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