Le vieillissement: sûrement une carence généralisée en silicium

Par Bernard.Burlet

Le 25 octobre 2019

Image parSusanne Pälmer de Pixabay – On sait que la teneur corporelle en silicium est étroitement liée au degré de vieillissement et qu’en fait elle diminue de façon irréversible. Cela a été observé et corroboré de manière scientifique.

Cette diminution du silicium du corps est physiologique, les réserves que l’on avait enfant s’épuisent et l’alimentation ne pourvoit plus en cet élément essentiel.
La quantité baissant fait le lit des pathologies de dégénérescence comme l’arthrose et l’ostéoporose.

La diminution de silicium peut atteindre 80% dans certaines zones du corps.

Là, on comprend mieux les risques d’augmentation de maladies cardiovasculaires car les parois des artères concentrent un maximum de silicium pour maintenir la souplesse et faire barrage à l’artériosclérose qui est une calcification pathologique des vaisseaux artériels principalement.

Le silicium est la molécule numéro 1 du tissu conjonctif c’est-à-dire celui de soutien de l’ensemble du corps et qui est le plus touché par le phénomène de vieillissement. Peau ridée, flétrie, atteinte des cartilages sont des signes qui manifestent un grand déficit en silicium.

Le silicium est l’élément le plus difficile à assimiler surtout quand on passe le cap de la soixantaine.

Le silicium organique, le vrai c’est-à-dire le G5 serait-il la solution apportée à l’encontre d’un vieillissement prématuré, il semble que cela soit le cas. En tous cas, nous en sommes convaincus.

Enfin une preuve flagrante du rôle protecteur du silicium a été apportée à l’encontre de la maladie d’Alzheimer et on sait que ce minéral empêche l’aluminium présent en quantité industrielle dans l’environnement de se fixer sur les neurones engendrant leur dégénérescence.