Cette vitamine qui fit la gloire du plus grand boxeur de tous les temps !

220px-Photo_d'une_affiche_de_Mohamed_Ali_et_George_ForemanPhoto Wikipédia – Il y a 75 ans naissait au mois de janvier 1942 le plus grand boxeur poids lourds de tous les temps : Mohamed Ali né Cassus Clay. Cet illustre champion nous a quitté le 3 juin 2016. Après avoir été l’un des plus jeunes champions du monde poids lourds de boxe en 1964 à l’âge de 22 ans, il se convertit à l’Islam et dès lors

refuse d’être enrôlé dans l’armée américaine par opposition à la guerre du Vietnam. Il sera dépossédé de son titre mondial ainsi que de sa licence de boxe en 1967 et ne put reprendre sa place sur les rings qu’en 1971 après un recours auprès de la cour suprême des Etats-Unis.

La reprise des combats n’est pas aussi évidente que cela, retrouver son titre mondial paraît impossible. C’est sans compter sur les qualités de stratège et puncheur de cet homme exceptionnel. Une rencontre favorable va changer son existence : celle du docteur Richard Passwater.
Face aux redoutables combattants que sont les colosses Joe Frazier et encore plus Norton et Georges Foreman, il semble impossible d’accéder au plus haut niveau. Il lui faut plus de bouillon qu’eux, plus d’oxygène, donc plus d’endurance.

Richard Passwater est à cette époque un biochimiste de renom qui utilise la DMG (vitamine B15) avec succès pour optimiser tant la santé cardiovasculaire, par le principe d’une meilleure utilisation de l’oxygène, dans le traitement de l’angine de poitrine et de bien d’autres maladies cardiaques.

« Bien que la DMG soit efficace en matière d’énergie, d’amélioration de l’endurance ainsi que de nutrition optimale du cœur, actuellement peu de gens ont entendu parler de ses immenses avantages dans le domaine de la santé. J’avais beaucoup appris sur la DMG lors de voyages au premier institut de cardiologie de l’URSS à Moscou dans les années 1970. C’est là bas que l’on mis en évidence les actions « oxygénantes » de la DMG dans le traitement de l’angine de poitrine et d’autres maladies cardiaques. J’ai aussi appris que les athlètes olympiques soviétiques utilisent également la DMG pour améliorer leur endurance.

Mes hôtes soviétiques ont vu mon intérêt pour la DMG et depuis que je suis leur invité de l’Institut de cardiologie, ils sont heureux de me présenter avec des livres et articles sur le sujet, ainsi que des traductions. Cela est devenu la base de nombreuses conférences et articles sur la DMG pendant les années 1970 » Richard Passwater.

C’est donc Richard Passwater qui convint Mohammad Ali que sa carrière n’est, non seulement pas terminée, mais qu’elle va connaitre son apogée avec le combat du siècle contre Foreman.

Le 30 octobre 1974, dans un stade rempli par 100 000 spectateurs, Ali remporte un premier round très acharné. Mais, brutalement, au début du 2e round, il se laisse coincer dans les cordes et encaisse les crochets du champion, tout en prenant soin de ne pas baisser sa garde. Au troisième round, il est encore debout. Sa tactique apparaît alors : laisser Foreman se fatiguer. Lui seul connait le grand secret de sa vélocité et de son énergie. Si Foreman matraque avec puissance, la plupart de ses coups finissent dans les bras et les gants d’Ali au lieu d’atteindre son torse et son visage.

Le succès de cet élan de vitalité lui seul sait d’où cela provient : la DMG que lui a prescrit Passwater depuis plusieurs mois.

En revanche, les contres d’Ali font souvent mouche et il en rajoute dans les provocations pour énerver Foreman. Progressivement, Foreman est dominé et continue à se fatiguer inutilement. Toujours dangereux, il réussit néanmoins quelques bons coups mais Ali parvient à l’envoyer au sol au huitième round pour la première fois de sa carrière. Compté KO, Foreman se relève difficilement et, Ali met ainsi fin à son bref mais puissant règne de deux ans.

Passé l’âge de 30 ans, Ali avait la fougue et la vitalité d’un adolescent mais avec en plus la puissance de frappe d’un poids lourd. Une chose est sûre, la puissance et la force étaient dominantes chez Foreman qui n’aurait fait qu’une bouchée d’Ali si ce dernier n’avait pas eu en plus cette capacité de résistance et de récupération liées toutes les deux à une oxygénation cellulaire inimaginable. En remontant sur le ring, en 1971, Ali dut endosser l’une de ses premières défaites en la personne de Frazier , une force de la nature, un vrai buldozer, mais c’est en 1975 qu’Ali va prendre un revanche extraordinaire.

« Le thriller de Manille » est le troisième et dernier combat opposant Mohamed Ali et Joe Frazier pour le titre de champion du monde poids lourds de boxe anglaise. Le combat s’est déroulé le 1er octobre 1975 à l’Araneta Coliseum de Quezon City aux Philippines. À l’issue de quatorze rounds âprement disputés dans une atmosphère suffocante, Eddie Futch, l’entraineur de Frazier, préfère retenir dans son coin son boxeur, qu’il juge complètement exténué avant le début du dernier round, donnant ainsi la victoire à Ali. Un combat à jamais resté dans les mémoires.

Ali, lui, est resté « frais » jusqu’au bout. Son secret de longévité et de forme sur le ring : la DMG, la très fameuse vitamine B15 (commercialisée par notre Partenaire Eli Bien-être)

Acteur-Nature