Norbert Duffaut, découvreur du silicium organique

Photo Site Elixanatur Norbert Duffaut, un génie méconnu qui est le découvreur du silicium organique.
C’est en novembre 1993 qu’on retrouve Norbert Duffaut, mort sur son lit après s’être suicidé par empoisonnement. Il avait à son chevet les quelques lignes qui servaient de conclusion pour un ouvrage qu’il s’apprêtait à publier:
« …. et puis guérir tant de maux avec un seul produit, autrement dit avoir découvert la panacée, semblait impossible à trop de beaux esprits.

Pourtant le DNR ( une molécule qu’il avait mise au point, dérivée du silicium) seul ou associé à diverses autres substances pour lesquels il sert de locomotive, soigne et guérit aussi bien les humains que les animaux. Je n’ai pourtant ni rancoeur ni esprit de vengeance et je conçois bien que des savants ne croient pas en ma découverte, mais je m’élève contre le fait qu’ils refusent de l’expérimenter et la condamnent sans l’avoir essayée. »

Genèse d’une découverte

En 1957, il est chercheur en chimie organique et travaille sur les composés qu’on nomme organosiliciés. Là, il va synthétiser le tout premier « silicium » totalement assimilable par le corps.
Cette molécule, somme toute assez simple, sera appelée DNR. Il faudra un concours de circonstances pour qu’elle soit expérimentée en hôpitaux de manière plus que satisfaisante.

Mais, cette molécule était vraiment opportune pour le milieu de l’industrie pharmaceutique.

Non seulement elle était atoxique, sans effet secondaire, mais elle était « organique » et donnait de vrais résultats à l’encontre de cancers, de maladies cardio-vasculaires, de maladies virales… ce qui n’était pas le cas des médicaments  » à bande rouges » qui, eux s’avéraient bien plus onéreux tout en donnant des résultats incertains et des effets secondaires promoteurs d’autres pathologies

Un vrai terrain d’expérimentation

Le monde médical, bien souvent sous l’influence des laboratoires pharmaceutiques, ne fut pas prompt dans son ensemble à soutenir les bienfaits d’une molécule si bon marché et si polyvalente. Souvenons nous du sort qui fut réservé à Pasteur par les médicastres de l’époque: ce fut un tollé général. Pasteur avait la malheur de n’être qu’un chimiste et il en était de même pour Norbert Duffaut.

Enfin, cette molécule ne provenait nullement des fournisseurs officiels du monde médical qui eux ne lésinent pas sur le prix du médicament voire comme exemple:

– http://www.franceinter.fr/depeche-les-medicaments-anticancer-sont-bien-trop-chers

Le dnr ( Duffaut Norbert Remède) pourrait bien s’apparenter au terme Découvreur Non Reconnu c’est du moins ce qu’écrit Norbert Duffaut. Cependant, c’est sous le vocable D N 1 ( Duffaut Norbert n°1) que le premier « médicament » vit le jour.

Bien sûr, ce produit fut expérimenté en cancérologie à Bordeaux et les résultats étaient bien plus que probants. Quand il fit la connaissance du docteur Janet, c’est le procédé d’ionocinèse qui fit le succès de cette molécule. L’ionocinèse est l’utilisation d’un courant électrique à faible intensité. Le silicium organique va être sur une ouate posée à même la peau du malade, et sous l’influence d’électrodes posées dessus, le courant pénétrera à l’intérieur du corps.

Ce procédé encore révolutionnaire donnait lui aussi des résultats vraiment étonnants et des rémissions de tumeurs que les médecins n’expliquaient pas.

 » Je me souviens, dit Norbert Duffaut avec beaucoup d’émotion, de la résorption quasi totale d’un cancer de l’ovaire par cette technique. La patiente avait une masse tumorale de la grosseur de la tête d’un enfant au niveau de l’ovaire. En vingt jours et une dizaine de séances d’ionocinèse au DNR ( silicium organique), cette pratique permit de faire diminuer cette masse tumorale d’une manière spectaculaire: elle n’avait plus que la dimension d’une mandarine ».

Norbert Duffaut comprit très vite l’hostilité qui lui fut faite à la suite de son immense découverte. Le milieu médical, trop lié aux intérêts de ses fournisseurs les laboratoires pharmaceutiques, n’était pas prêt à remettre en question ses procédures thérapeutiques qui, sommes toutes, rapportent beaucoup. Que ce soient la chimiothérapie, la chirurgie, la radiothérapie, ce sont des techniques qui ne peuvent être remises en question par l’application d’ionocinèse et de silicium organique ( DNR), procédé trop simple et peu coûteux.

Une découverte trop simple pour vraiment être reconnue

La personne dans le domaine médical qui offrit ses lettres de Noblesse au DNR est certainement le docteur Roland Rager. Ce monsieur était cardiologue et il commença ses observations sur des angines de poitrine, des infarctus du myocarde, des artérites des membres inférieurs. Ses premiers essais furent de vrais triomphes et ses espérances furent dépassées. Ses toutes premières publications furent largement confirmées par des milliers d’autres résultats favorables au cours des années qui suivirent.
Pourtant, telle n’était pas l’opinion de ses honorables confrères qui pendant plus de quinze ans vont le harceler, le vexer et le brimer.
Chaque fois qu’un médecin favorable comme Rager s’ouvrait à cette thérapie, il rencontrait la désapprobation voir l’hostilité de ceux que l’industrie pharmaceutique soudoyait par quelques récompenses comme des voyages ou rétributions non « officielles »…. Luxe que ne pouvait s’offrir un chercheur indépendant comme Norbert Duffaut.
Norbert Duffaut ne pouvait qu’avoir des médecins « idéalistes » et non conformistes comme Janet et Rager, de vrais indépendants comme on n’en voit plus beaucoup
Norbert Duffaut décrit le docteur Rager comme un géant de science , nobélisable mais bien sûr naïf…. Ce dernier avait montré que le DNR était un anion qui traversant facilement l’épiderme et le derme par ionocinèse pouvait arriver en quantité adéquate sur les coronaires pour leur donner une élasticité vraiment physiologique.
Ce même phénomène se produisait sur les jambes afin de rétablir une circulation périphérique satisfaisante. Ainsi, pour les artérites, les atroces douleurs nocturnes et diurnes disparaissaient. Le spectre de la gangrène et de l’amputation s’éloignait définitivement, les patients recommençaient à marcher.
Le docteur Rager, un ami de la science et de l’humain, attaché à rapporter les faits tel qu’il les observait eut l’outrecuidance de publier ses résultats.

Une molécule de silicium à l’épreuve de l’observation scientifique

Voici ce que l’on trouve sous la plume de Norbert Duffaut:

 » Vers 1964, un laboratoire pharmaceutique qui commençait à s’intéresser à la commercialisation du D.N.R. fit effectuer des études sur le traitement de l’athérome expérimental chez le lapin, pour essayer de donner un fondement pharmacodynamique aux travaux de Rager. Ce fut un institut bordelais de microscopie électronique dépendant de la faculté des sciences qui mena cette étude à bien.
Je tiens à préciser que ce ne fut pas un laboratoire de la faculté de médecine qui effectua ce travail. En effet, tous les services et instituts français travaillant de près ou de loin sur les maladies cardio-vasculaires nous refoulèrent systématiquement sans la moindre hésitation, quels que soient les crédits proposés pour entreprendre le travail. L’étude sur le traitement de l’athérome expérimental sur le lapin dura plus de deux ans. Ce fut donc un travail très soigné. L’étude portait en particulier sur l’examen au microscope électronique des coupes histologiques de l’aorte des lapins traités et non traités au D.N.R. Plus de mille photographies furent ainsi prises au microscope électronique.

Ce travail original montra, de manière magistrale, lumineuse et sans appel, les rôles préventif et curatif du D.N.R. sur l’athérome.

Ceci complétait, de manière triomphale, les résultats brillants obtenus par Roland Rager chez l’homme, lors du traitement des angines de poitrine, de l’infarctus du myocarde et de l’artérite des membres inférieurs ».

Roland Rager, dont les mérites commençaient à être reconnus par l’Académie de Médecine, pouvait en toute modestie aspirer au prix Nobel, car les travaux sur l’homme étaient confirmés après ceux effectués sur le lapin.

A peu près à cette époque, il fit éditer un livre de quatre cents pages « L’infarctus ne tue pas », dans lequel il faisait une mise au point à l’adresse du grand public. Il consacrait quelques pages au D.N.R., et montrait les avantages de cette thérapeutique originale et efficace.

Il n’empêche que même avec le pouvoir médiatique qui le soutenait, Rager ne put faire triompher cette incomparable molécule de vie de silicium au nom barbare : le Mono Méthyl Silanetriol.

Les résultats étaient probants à l’encontre du cancer, des maladies cardio-vasculaires, des troubles ophtalmiques, digestifs et bien d’autres pathologies mais pas auprès de ceux qui détiennent le pouvoir : les trusts de la santé, ceux qui actuellement abusent sur le prix des médicaments anticancéreux.

Pouvons-nous imaginer un traitement simple, peu onéreux et accessible à tous pour guérir vraiment ces pathologies courantes aujourd’hui ?

Coluche, s’il était vivant, affirmerait : « Circulez Messieurs dames, il n’y a rien à voir …. Ça rapporte pas suffisamment et ça n’entretient pas la maladie »

Pourquoi tant de dénis face à un produit si salvateur ?

Guérir tant de maux avec un seul produit en ayant découvert la panacée semblait impossible à trop de beaux esprits…

Duffaut écrira en conclusion « Pour ma part, si tel est le dessein de Dieu, il n’y a pas de sacrifices trop grand à endurer pour servir la cause de l’Humanité souffrante et en passe de manquer d’énergie. Ni la hargne ni l’indifférence des contemporains ne peuvent arrêter un idéaliste qui veut servir ses semblables. Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. Même dans un environnement hostile, le découvreur capable d’apprécier objectivement la valeur de sa découverte peut accéder au chemin des cimes, à la ligne des faîtes, à la zone des hautes sommets ou règnent la béatitude et le bonheur.

Pourtant, usé par l’indifférence de ceux qu’il voulait convaincre dans l’intérêt des malades, Duffaut mit fin à ses jours. Que reste-t-il aujourd’hui de ses travaux, de ses publications scientifiques, des applications de l’ionocinèse de Janet, de l’œuvre de Rager…

Duffaut, en 1993, est allé rejoindre d’autres qui comme lui n’appartenaient pas aux conformistes de la science. Ceux qui dans un laboratoire obéissent seulement aux lois de rentabilité et aux dogmes qui sévissent pour un temps ne se trouvent pas auprès de lui. Il a rejoint d’autres illustres thérapeutes comme le docteur Gernez, le docteur Solomides, le docteur Beljinski mais aussi Pasteur qui, lui aussi chimiste, eut plus d’opportunité à faire reconnaitre en son temps le bien fondé de ses découvertes.

Roland Reymondier
Conseiller en produits de nutrition

Pour en savoir plus: ce livre écrit par Norbert Duffaut et préfacé par Loïc Le Ribault